Rentrée E.K.S. de Saint-Jeoire le jeudi 13 septembre 2018

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Le karaté Shotokan

Le karaté est basé sur des techniques de percussion utilisant les différentes parties du corps comme des armes naturelles (doigts, mains ouvertes et fermées, avants-bras, pieds, tibias, coudes, genoux, tête, épaules, etc.) en vue de bloquer les attaques adverses et/ou d'attaquer.


Les techniques regroupent des parades, des esquives, des balayages, des projections et des clés. 


Pour acquérir la maîtrise de ces techniques en combat, l'enseignement comporte trois domaines d'étude complémentaires : le kihon (??), les kata (? ou ?) et le kumite (??).

  • Le kihon (qui signifie « technique de base ») consiste à répéter individuellement et la plupart du temps en groupe des techniques, positions et déplacements. Pratiqué avec un partenaire de façon codifiée, on parle alors de kihon-kumite.
  • Le kata (qui signifie « forme ») est un enchaînement codifié et structuré de techniques, représentant un combat réel contre plusieurs assaillants virtuels quasi simultanés, ayant pour but la formation du corps, l'acquisition d'automatismes ainsi que la transmission de techniques secrètes. Le kata dépasse l'aspect purement technique en permettant au pratiquant, par de très nombreuses répétitions, de tendre vers la perfection du geste et surtout de faire l'expérience de l'esprit.
  • Le dernier domaine est le kumite ou combat (en fait, le but réel du karaté). Littéralement cela signifie « grouper les mains », c'est-à-dire travailler en groupe et non plus tout seul. Cette notion de kumite peut prendre de multiples formes en karaté. De la plus codifiée à la forme la plus libre. Le combat peut être pré-défini (kihon-kumite), fixé à un nombre d'attaque précis (ippon kumite pour une attaque, sanbon kumite pour trois attaques…), dit souple (j? kumite), sans contact (kunde kumite) ou libre (jiy? kumite).

16/04/2010
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Les katas Shotokan

Les katas de karaté Shotokan ; l'héritage des Maîtres


Les katas sont au cœur même de l'histoire du karaté. Ils sont l'héritage que nous lègue les grands maîtres. Chaque kata a un nom. Des noms comme Bassai, Empi, Jion,ou Sochin leurs ont été donnés à travers les siècles. Les noms des katas font souvent écho à leur origine chinoise, soit par leur poésie naturaliste, le nom du maître qui les a transmis ou, lorsque modifiés dernièrement, à des références plus japonaises.


Pour différentes raisons, les créateurs de kata n'ont pas écrit beaucoup de choses sur leur passion pour les arts martiaux et sur les concepts qu'ils voulaient faire passer en les créant.


Un certain nombre de katas se sont perdus au cours de l'histoire, lorsqu'un maître ne trouvait pas de successeur convenable, il préférait parfois voir son kata disparaître avec lui-même. Il restait alors seulement le nom du kata dont le contenu demeurait inconnu. Parfois aussi la transmission ne se terminait pas complètement, lorsque le  maître mourrait, ou le  disciple abandonnait tout simplement sa pratique.


Pratiquement aucun écrit n'a pu être retrouvé, car la transmission de la connaissance du savoir de Maître à élèves se faisait de manière orale, de plus à l'époque peu d'entre savaient lire ou écrire. Habituellement, un Maître avait un élève interne (Uchi-Deshi) et un élève externe (Soto-Deschi). Le successeur officiel était le Soto-Deschi, et pourtant celui-ci n'est pas le détenteur de toutes les clés du savoir contenu dans les katas du Maître. Ces secrets étaient détenus par le Uchi-Deshi, d'où une perte de certain enseignements.


L'idée même que vous êtes en train de réaliser une technique qui a été transmise de maître à élève depuis 50 ans et dans certains cas depuis 400 ans, est fascinante et peut apporter de l'humilité. Ces exercices apportent bien plus que de la sueur et de la fatigue au karatéka, ils apportent une impression de perpétuité.


Un kata de karaté se présente comme une suite de mouvements toujours exécutés de la même façon et dans les même direction, il sont destinés à transmettre les principes originels des différents budos.


Les katas sont des exercices codifiés, où on trouvera de 20 à 60 mouvements ou techniques.  Selon le degré de difficulté du kata, le karatéka effectue  des techniques qui simulent un combat établi selon un cheminement précis contre plusieurs adversaires.


Bien sûr, ils sont imaginaires, mais chaque mouvement, chaque technique doit être exécutée avec l'état d'esprit d'un combat réel. Les katas formaient jusqu'à la dernière guerre, avec les assauts conventionnels, la seule forme d'enseignement du karaté, ils contiennent toutes les techniques transmises par les maîtres et en y consacrant du temps, le karatéka peut y découvrir une importante source de progression.


Ainsi, certaines techniques du karaté ont été développées dans un contexte bien particulier, par exemple les tobi-geri (coup de pied sautés) étaient utilisés pour désarçonner un Samouraï.


Efficacité et pureté technique


"Karate ni sente nashi" a-t-on pris le soin de graver sur le tombeau de Gichin Funakoshi. Un monument dédié à  sa mémoire est placée actuellement dans le Monastère Zen d'Engaku-ji en Kamakura : le karatéka ne fait pas la première attaque. En karaté, il n'y a pas d'avantage à la première attaque était en effet la phrase que le fondateur du karaté moderne avait choisie pour définir le karatéka.


Le fait que tous les katas commencent par un blocage a la même signification. Le kihon, l'exercice de base, insiste également sur les blocages qui doivent garder une place primordiale dans chaque entraînement disait Masatoshi Nakayama.


Il est intéressant de constater qu'un kata commence toujours par une technique défensive, ceci afin de rappeler à tous que le karaté ne doit servir qu'à se défendre.


Il compte toujours un ou deux temps forts où l'on pousse un cri abdominal bref, le kiaï, qui aide à concentrer toute notre énergie : c'est le moment où on "porte un coup décisif" contre un adversaire plus coriace que les autres. Un des buts du kata est de faire se rejoindre efficacité et pureté technique,  aussi le respect scrupuleux de la forme du kata est-il un critère indissociable de sa réussite. Bien que le kata soit un exercice formel, il ne reçoit sa signification qu'associé à son interprétation, le bunkaï.



16/04/2010
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Les katas en vidéo

Katas en vidéos

 

 

09/10/2015
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Tarifs

TARIFS 2016-2017

 

Baby Karaté ( de 5 à 6 ans)

1 cours / semaine : 91 Euros

 

Enfants de 7 à 12 ans débutants

1 cours / semaine : 132 Euros

 

Enfants de 7 à 12 ans avancés (à partir de la ceinture jaune)

1 cours / semaine : 152 Euros

2 cours / semaine : 221 Euros

 

-18 ans / Adultes débutant :

1 cours / semaine : 172 Euros

2 cours / semaine : 236 Euros

 

Adultes avancés :

1 cours / semaine : 212 Euros

2 cours / semaine : 276 Euros

 

 

Ces tarifs tiennent compte du prix de la licence et de l’assurance soit 36 Euros.

Possibilité de paiement en 5x

Ces tarifs concernent une adhésion annuel. Pour toute adhésion en cour d'année, un calcul sera fait au prorata des mois restants.

 

 

 2 COURS D’ESSAI GRATUITS

 

 


09/10/2015
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Horaires

HORAIRES 2018/2019

 

ATTENTION

Les cours reprendront à partir du jeudi 13 septembre.
Ceux du mardi à partir du 6 novembre



       Baby Karaté      
5 à 6 ans


Jeudi de 17H15 à 18H00

Enfants 7-12 ans
Débutants


Jeudi de 18H00 à 19H00

Enfants avancés 7-12ans
(à partir de ceinture jaunes)

Mardi de 18H30 à 20H00
Jeudi de 19H00 à 20H00

Ados et adultes
Débutants et avancés

Mardi de 18H30 à 20H00
Jeudi de 20H00 à 21H30

 


23/02/2019
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